lundi 30 avril 2012

Ajouts Personnels

Wild Child
Réalisateur: Nick Moore
Date de sortie: 2008.

Résumé: Poppy Moore, une adolescente vivant à Malibu, mène une vie d'enfant gâtée et se rebelle quelque peu. Lorsque la nouvelle copine de son père emménage chez elle, elle jette ses vêtement à la mer lui faisant ainsi un accueil à la '' Malibu''. Son père, qui en a ras-le-bol de toutes ces bêtises, enverra donc Poppy dans un pensionnat pour jeune fille en Angleterre. Celle-ci n'est guère enthousiaste à cette idée et se comporte mal, enfreint les règles et n'a aucun respect pour personne. Un jour, elle se confia à l'une de ces camarade de chambre en lui disant qu'elle tenait à se faire renvoyer pour retourner en Californie. Elles établirent donc un plan avec les idées les plus loufoques afin que Poppy se fasse renvoyer. Ses nombreuses tentatives ne semblant pas fonctionner, les cinq amies semblent trouver son ticket de départ: fréquenter Freddie, le fils de la directrice et le coup de coeur de l'ennemie jurée de Poppy: Harriett.

Critique: À chaque fois que ce film passe à la télévision, je ne peux m'empêcher de le regarder. Je ne sais pas si c'est parce que je trouve l'histoire accrocheuse ou que le récit se déroule en Angleterre, mais j'adore ce film. Je dois dire que la présence de deux de mes acteurs favoris, soit Emma Roberts et Alex Pettyfer, doit y être pour quelque chose. Je crois que le thème de rébellion qu'on aborde dans ce film nous permet de nous identifer au personnage de Poppy qui vit des moment difficiles. Mais je crois que la raison pour laquelle j'aime tout particulièrement ce film, c'est la façon dont on voit le personnage de Poppy évoluer et s'adapter à son environnement. Bref, c'est un merveilleux film sur les amitiés qui se créent et sur l'épanouissement de soi.

Mirroir Mirroir
Réalisateur: Tarsem Singh
Date de sortie: 30 mars 2012

Résumé: À la mort de son père, on confie Blanche-Neige à l'épouse de celui-ci, qui ne daigne pas s'occuper d'elle. Blanche-Neige, la veille de ses 18 ans, sort de chambre voulant assister à la fête dont sa belle-mère est l'hôte. Cependant, celle-ci la renvoie dans sa chambre et lui dis de ne plus y sortir a moins qu'elle ne l'en autorise. Blanche-Neige désobéira alors à sa belle mère et ira au village. Lorsqu'elle constate que ces gens vivent dans la misère, elle décide qu'il faut changer les choses une bonne fois pour toute. À son retour, elle emprunte le chemin de la forêt où elle rencontre un prince. Ils se revirent au bal organisé par la belle-mère de Blanche-Neige, qui espérait épouser le prince. Voyant alors sa belle-fille à la réception alors qu'elle lui avait interdit, l'affreuse belle-mère demandera à son servant de la tuée. Celui-ci ayant pitié d'elle la laissa s'enfuir. Blanche-Neige fit alors la rencontre des sept nains qui deviendront ses acolytes. Celle-ci gardant en tête l'image de son prince charmant.

Critique: J'ai beaucoup aimé ce film bien qu'au début j'étais un peu sceptique puisque c'était une reprise du conte de Blanche-Neige et qu'il est souvent difficile de refaire un film à succès avec un film déjà considéré comme un classique. j'ai donc été agréablement surprise lorsque j'ai vu Miroir Miroir. L'univers merveilleux créé dans le long métrage est magnifique et est très moderne pour un conte qui date de plusieurs décennies. Je pense notamment aux scènes où la belle-mère, voulant parler à son miroir, passe dans une sorte de monde parallèle où elle passe à travers une étendue d'eau qui la mène dans un petit refuge, effet très réussi. De plus, les décors et les costumes sont époustouflant, de quoi faire rêver toutes le jeunes filles! J'ai également appréciée le côté humoristique que l'on a donné à ce film, cela le rend sympathique et très agréable à regarder. Donc, un film qui, à mon avis, est très réussi.

Hunger Games
Réalisateur: Gary Ross
Date de sortie: 2012


Résumé: Katniss, une adolescente de 16 ans, vit dans district pauvre de l'Amérique. À chaque année, le peuple riche fête l'ouverture des Huger Games. Qu'est-ce que les Hunger Games? C'est une émission de télé-réalité dont le principe est plutôt simple: tuer pour survivre. Ils sont 24 participants, mais un seul peut gagner. Dans chacun des 12 districs, un garçcon et fille  sont choisis afin de participer aux Hunger Games. Lorsque le nom de sa soeur est pigé afin de participer à ces jeux, Katniss se porte volontaire ne voulant perdre sa soeur. Elle et Peeta, le garçcon de son distric choisi pour les Hunger Games, se rendent à la capitale afin de s'entraîner en vue du fameux jour où les jeux commenceront. Ils sont alors mis à l,épreuve et les favoris auront des commanditaires qui leur permetteront d'avoir certains avantages sur les autres concurrents. La veille des jeux, Peeta déclare son amour pour Katniss à la télévision. Celle-ci n'en est pas très ravie. Puis, les jeux commencent, 12 participants se font tuer dès le départ. Katniss, elle s'enfuit, sachant qu'elle n'était ni en sécurité, ni au bout de ses peines.

Critique: Lorsque j'ai entendu parler du concept de Hunger Games, je me suis demander qui pourrait bien aimer regarder un film où le seul but des personnages est de s’entre-tuer. Cependant, la fièvre Hunger Games était bien présente et tous les gens qui m'ont parlé de ce film m'en ont fait une bonne critique.  Je dois l'avouer, je m'attendais à quelque chose de très bon et j'ai été servie. Ce film de science fiction nous offre des plans de caméras très intéressants, notamment lorsque Katniss va se percher dans un arbre et où l'on voit les autres participant en overhead shot. De plus, l'action ne cesse jamais. Le film à une durée de 2h36 minutes et pourtant on ne les voit pas passer! Au niveau de l'histoire, j'ai trouvé intéressant le concept des Hunger Games qui prend la forme d'une émission de télévision que le peuple aime regarder. J'y ai vu une auto-critique de notre société qui est obnubilée par la télé-réalité et ça m'as beaucoup plu. De plus, les personnages sont attachants, mais différents. Katniss à un caractère fort et sait s'en servir, mais elle sait également faire preuve d'extrême générosité notamment lorsqu'elle prend la place de sa soeur comme fille représentant le distric 12. Bref, Hunger Games a une histoire hors du commun qui a su me séduire.

Tim Burton: Big Fish


Big Fish est un long métrage réalisé par Tim Burton sorti en 2003.

Résumé: William Bloom et son père Edward ne sont plus très proches puisque celui-ci raconte des histoires toutes plus fantastiques les unes que les autres, ce qui n’enchante pas particulièrement son fils. Pendant trois ans William n’adressera donc pas la parole à son père. Il ne reviendra vers lui que lorsqu’il apprendra que celui-ci est mourant. William, qui sera bientôt père à son tour, espère que le sien pourra lui révéler la vérité sur toutes les histoires qu’il a racontées tout au long de sa vie, car il voudrait connaître son père, le vrai, avant qu’il meure. Edward continue pourtant de raconter ses bonnes vieilles histoires où il aurait passé trois ans de sa vie dans un lit parce qu’il grandissait trop vite, où il était le meilleur dans tous les domaines à l’adolescence et où il aurait quitté sa ville natale en compagnie d’un géant. Cela cause de la frustration chez William, car il croit que son père est un menteur alors qu’en fait, il le découvrira plus tard, celui-ci ne donne qu’un peu de magie à toutes ses histoires.

Critique: J'ai beaucoup aimé Big Fish, car l'histoire est très touchante et elle nous permet tous de rêver. Après tout, qui n'a jamais voulu transformer l'histoire de sa vie en y ajoutant de nombreux périples qui semblent plus impossibles les uns que les autres? Cinématographiquement, j'ai trouvé ce film très riche. Cependant, un plan m'a marqué en particulier. Il s'agit de l'effet subjectif qui est fait lorsque la caméra se trouve dans l'eau et ainsi s'opère un travelling avant, de sorte que le spectateur se sente comme un poisson nageant dans l'eau. Ce long métrage m'as donc permis de rire, de rêver et il a même su m'émouvoir lorsque William raconte comment se produit la mort de son père, car lui qui n'aimait ses histoires a enfin compris ce qu'elles représentaient pour Edward et ainsi il su qui était réellement son père.

vendredi 27 avril 2012

Edward Scissorhands

Edward Scissorhands a été réalisé par Tim Burton en 1990.

Résumé:  Un jour, alors que Peg Boggs essaie tant bien que mal de vendre ses produit de beauté, mais en vain, elle s'aventure dans un château situé sur une colline espérant y trouver des clients potentiels. Le château semble abandonné, à première vue, mais Peg y découvre un jeune homme vivant seul. Celui-ci a le visage rempli de coupures et d'égratignures, car son créateur n'ayant pu l'achever, il a des ciseaux à la place des mains. Voyant ce triste spectacle, Peg emmena Edward avec elle. Celui-ci sera le sujets de bien des conversations dans le village tout entier. Les gens du voisinnage apprécient tous Edward notamment pour ses talents de tailleur et de coiffeur qui donne un vent de fraîcheur au village. Edward tombera amoureux de Kim, la fille de Peg, ce qui causera biens des conflits entre le copain de celle-ci et Edward. Les gens du village vont alors douter de l'amabilité d'Edward notamment parce qu'il est entré par effraction dans la maison de Jim, sous la demande de Kim et sa bande.

Critique:  J'ai adoré ce film parce que le personnage d'Edward, bien qu'il ait des ciseaux à la place des mains, n'est en aucun cas un monstre et qu'on l'accepte comme s'il était  normal. L'idylle qui se développe entre Kim et Edward est très touchante, car cet amour devient un amour impossible. De plus, le fait que l'histoire de la vie d'Edward serve d'explication à l'existence de la neige, ajoute un côté poétique très charmant. Les maquillages étaient, selon moi, très réussis, car il nous permettait de croire au fait que les mains d'Edward soient des ciseaux. Finalement, j'ai bien aimé  le petit côté expressionniste par la ''déformation'' du personnage d'Edward, nous faisant presque croire qu,on pourrait un jour rencontrer un être comme lui.

Ed Wood

Ed Wood a été réalisé par Tim burton en 1994.

Résumé: Ed Wood est un jeune homme plein d'ambitions qui rêve de devenir cinéaste. Celui-ci arrive à obtenir un entretien dans les bureaux d'Hollywood avec le producteur Georgie Weiss. Il lui propose alors d'écrire le scénario pour son film. Weiss acceptera l'idée et confiera son film à Ed Wood. Wood fera ensuite la rencontre de Béla Lugosi avec qui il se liera d'amitié. Il suscitera la participation de Lugosi dans son film. Malheureusement, le long-métrage est un échec total. De plus, tout se met en travers de son chemin, car bien vite, sa femme en a assez de cette mascarade et le quitte pour avoir une vie normale. Cependant, Ed Wood ne se laissera pas abattre et continuera de réaliser et produire des films, car il a un rêve: être un aussi grand réalisateur que Orson Welles et il compte bien l'atteindre.

Critique: Ce long-métrage, je dois l'avouer, m'as laissée de glace. Bien que j'aie aimé le thème de l'homme voué à l'échec, j'ai trouvé que le film n'était pas très divertissant. Tout d'abord, certains passages étaient long et ne savaient pas garder mon attention. J'étais sceptique quant au personnage d'Ed Wood, car il était très étrange, par exemple, lorsqu'il se déguisait en femme pour son simple plaisir. Je crois que cela m'a choquée, non parce que je trouvais cette manie bizarre, mais parce qu'elle ne me semblait pas justifiée. De plus, la trame sonore était plutôt inquiétante notamment lorsque M. Legaci est présent ce qui a créé chez moi des supsons sur son identité, je me questionnais si un élément fantastique ferait son apparition au cours de l'histoire, mais il n'en était rien. Bref, tout au long du visionnement, j'ai attendu un élément de surprise qui ne s'est pas produit.Bien que ce film m'ait déçue, j'ai bien esquissé un sourire une our deux fois alors qu'on voyait qu'Ed Wood n'avait aucune connaissance cinématographique et qu'il faisait n'importe quoi.

jeudi 26 avril 2012

Film Western: True Grit

True Grit est un long-métrage réalisé par Joel et Ethan Coen en 2010.

Résumé: Mattie, âgée de 14 ans a perdu son père depuis peu, car il a été assassiné par Tom Chenay, un hors-la-loi ayant commis plusieurs crimes. La jeune fille est prête à tout pour retrouver Chenay et ainsi venger la mort de son père puisque le système judiciaire ne s'en occupe pas. Elle ira donc à la rencontre du Marshal Cogburn afin que celui-ci l'aide à retrouver Chenay en territoire indien. Après discussion, celui-ci acceptera la mission que la jeune fille lui a confiée. Cependant, il part seul alors que Mattie avait imposé la condition d'être présente lors de cette aventure. Elle rejoindra donc le Marshal et insistera pour rester, demande à laquelle Cogburn cédera. LaBoeuf, un cow-boy venant du Texas qui chercher également Chenay se joindra à eux et les quittera suite à quelques disputes. Le Marshal et la jeune fille s'aventureront donc en territoire indien défiant la bande de hors-la-loi avec laquelle Chenay s'est enfuit, se rapprochant ainsi un peu plus de celui-ci et de leur vengeance du même coup.

Critique: J'ai, personnellement, beaucoup aimé True Grit, car l'histoire de la jeune fille qui veut venger la mort de son père est plutôt touchante. De plus, j'ai aimé l'importance que l'on accorde à la jeune fille, celle-ci incarnant, non seulement, le rôle principal, mais également une tête forte dont la détermination est sans limite. Cependant, le fait qu'il y ait plusieurs personnages secondaires qui ne reviennent que quelques fois pouvait parfois nuire quelque peu à ma compréhension. Cinématographiquement, le long-métrage présentait plusieurs plans plutôt intéressant notamment le plan en plongée lorsque Mattie, perchée dans un arbre,  décroche un corps pendu. Les nombreux plan d'ensemble lors des batailles rend bien compte du vaste espace dans lequel se trouve les personnages.

Caractéristiques: Puisque le western est le genre cinématographique le plus codé, on retrouve de nombreuses caractéristiques étant propre au genre dans True Grit. Au niveau des personnages principaux, on retrouve le justicier, incarné par Mattie, le cow-boy étant LaBoeuf, le hors-la-loi lui étant Chenay, ainsi que l'aventurier soit Cogburn. Lors de leur périple, la jeune fille et le Marshal rencontreront un indien, après avoir découvert le corps pendu à un arbre, ainsi qu'un vagabond solitaire soit Forster. L'action se passe principalement dans des plaines, mais on se retrouve près d'un canyon lorsque les deux personnages principaux chercher Lucky Ned Pepper, le chef de la bande de hors-la-loi. On y voit également une gare notamment lorsque Mattie revient au village à la fin du film. Le village dans lequel vie la jeune fille est composé d'une rue principale. Au niveaux des accessoires, le Colt 45 est utilisé, on le voit notamment l'adolescente le retrouve dans les affaires de son défunt père. Le Marshal fait également usage du fusil Winchester lorsqu'il tire sur une maison afin de savoir qui s'y trouve. LaBoeuf, lorsque la jeune fille argumente pour rester avec lui et Cogburn afin de traquer Chenay, utilise son fouet pour que l'adolescente comprenne que ce n'est pas raisonnable. Pendant toute cette aventure le cheval de Mattie devient son meilleur ami, lorsque le Marshal doit l'abattre, celle-ci le supplie de ne pas tirer. On retrouve des gros plans, notamment lorsque le Marshal prend son fusil, ainsi que des plans américains, par exemple, lorsque le cow-boy attaque Chenay pour sauver Matti. Finalement, le thème exploité dans ce film est la vengeance ainsi que les nombreux déplacements à cheval, deux thèmes récurrents lorsque l'on parle de film western.

lundi 26 mars 2012

Film Noir: Kiss Kiss Bang Bang

Kiss Kiss Bang Bang a été réalisé par Shane Black. Le film est sorti en 2005.

Résumé: Ce film est le récit d'un homme, Harry, qui a été choisi pour un rôle dans un casting après avoir raté un vol dans un magasin de jouet. Lors d'une soirée mondainem celui-ci fera connaissance avec une femme, Harmony, qui s'avère à être la fille qu'il convoite depuis son adolescence. Alors qu'il est accompagné de Perrey, un détective, pour obtenir quelques enseignement sur ce métier, Harry est témoin de plusieurs meurtres. Harmony croyant qu'il est réellement détective lui demandera de résoudre le mystère de la mort de sa soeur, Jena. C'est en acceptant cet engagement qu'Harry se retrouvera mêlé à une enquête plutôt complexe où une péripétie n'attend pas l'autre.

Caractéristiques: Beaucoup de caractéristiques du film Noir se retrouvent dans Kiss Kiss Bang Bang. On retrouve notamment la voix off à plusieurs reprises dans le film, ajoutant également une petite touche d'humour bien plaisante. L'intrigue se produit dans une grande ville, ici dans celle de Los Angeles. De plus, plusieurs crimes sont commis, notamment, le vol d'Harry et de son accolyte au magasin de jouets ainsi que les nombreux meurtres. L'éclairage en clair-obscur est utiliser à quelques reprise, dont le soir où Harry va rejoindre Harmony dans un bar afin de lui parler et de tente sa chance avec elle. Lorsque Perry expliques les circonstances de la mort de Jena, on a recours à des flash-backs. On y a également recours lorsque l'on revoit Harry avec Harmony dans leur enfance lorsqu'il font un spectacle de magie. On retrouve également dexu personnage typique du film Noir dans cette intrigue: celui qui cherche la vérité soit Harry et la femme fatale soit Harmony. On se retrouve quelques fois dans des endroits tels que des ruelles, notamment, lorsque Perry et Harry vont cacher le corps d'un jeune femme qui à été tuée et dont la dépouille s'est mystèrieusement retrouvé dans la salle de bain d'Harry. Plusieurs action dans ce film se produisent la nuit. La contre-plongée est aussi utilisée lorsque les deux bandis apparaissent après qu'Harry et Perry ait découvert le corps d'une femme. Finalement, ont retrouve une intrigue très complexe, ce qui est également une caractéristique du film Noir.

lundi 27 février 2012

Film fantastique: Le Labyrinthe de Pan

Le réalisateur de Le Labyrinthe de Pan est Guillermo Del Toro. Ce long-métrage est sorti en 2006.

Résumé
Dans un contexte d'après-guerre, Ofelia et sa mère, Carmen, vont rejoindre le capitaine de l'armée franquiste, celui-ci étant le nouveau mari de Carmen. Ofelia est une jeune fille rêveuse qui est absorbée par ses contes de fées. Lors de leur voyage jusqu'à la campagne, Carmen, étant enceinte, a un malaise et ils s'arrête donc quelques minutes. Ofelia découvre alors une pierre qui a la forme de visage, un bout, qui se trouve à ses pieds, en est manquant. Elle place alors le morceau où il va puis un insecte sort de la pierre en question. Ofelia croit avoir vu une fée. À leur arrivée à la campagne, l'insecte était toujours là. Celui-ci mena Ofelia dans un labyrinthe dont elle se fera interdire l'accès puisqu'elle pourrait s'y perdre. La nuit tombée, l'insecte vient rendre visite à Ofelia et celui-ci se change en fée. La fée mène alors Ofelia dans le labyrinthe où un faune l'y attend. Celui-ci lui indique que si elle passe les trois épreuves qu'il lui lancera avec succès, cela signifierait qu' Ofelia est la réincarnation de la princesse et serait donc immortelle.Ofelia acceptera donc cette aventure digne des contes de fées.

Caractéristiques
Dans ce film, j'ai repéré trois caractéristiques propres au genre fantastique. Les caractéristiques sont les suivantes:
  •  L'histoire que déroule dans un univers réaliste et crédible alors que des éléments inexplicables apparaissent créant ainsi la peur.
  •  La fée, personnage typique du fantastique fait plusieurs apparitions dans le long-métrage.
  • La teinte bleutée est dominante dans ce film, beaucoup de scènes ont lieu la nuit.
Prix
Le Labyrinthe de Pan a remporté trois oscars, celui de meilleure photographie, meilleure direction artistique ainsi que meilleur maquillage. Selon moi, ces trois prix sont mérités, car les plans de caméra étaient variés et très beaux. Esthétiquement, les images étaient toujours très belles, que ce soit au niveau du cadrage où au niveau des couleurs. De plus, les lieux de tournages étaient très bien exploités.Les costumes étaient également très représentatifs de l'époque ce qui faisait en sorte qu'on aurait pu croire que le filma été tourné à cette époque-là. Pour ce qui est du maquillage, je trouve que cet aspect était simplement magnifique. Pensons simplement au faune qui ressemblait vraiment à une créature mythique ainsi qu'au monstre avec les yeux dans les mains. Lorsque les gens se blessaient ça avait l'air réel également, notamment lorsque Mercedes coupa la lèvre du capitaine franquiste, c'était très réussi. Donc, trois honneurs qui ont été remportés avec mérite.

samedi 18 février 2012

L'Homme à la caméra

J'ai trouvé que l'Homme à la caméra, réalisé par Dziga Vertov, était un film très intéressant au niveau des contrastes qu'il présente. On y retrouve également plusieurs plan que ce soit de très gros plan ou des plans de grands ensemble ce qui rend la vu de ce film d'autant plus intéressant. J'ai particulièrement aimé lorsque les stores s'ouvrent et se ferment en faisant un parrallèle avec les yeux. J'ai tout simplement trouvé ces images magnifiques. Une autre scène qui m'as marquée est celle où l'homme va sur le chemin de fer alors que le train approche puis s'éloigne juste à temps pour que le train de le frappe pas. L'ajout de la musique de Madonna, je dois l'avouer, a beaucoup aider  à mon appréciation du film. Cela rendait le film plus dynamique. Cependant, lorsque la musique ralentissait, j'avais un peu plus de misère à suivre le film, car il me semblait qu'il devenait long tout à coup. Bref, le film avec ses plans et ses mouvements de caméra a  susciter mon intérêt et on voit que ce film est encore un film moderne en le regardant attentivement.

Sergei Eisenstein

Sergei Eisenstein est un cinéaste russe né à Riga en 1898. Il a réalisé six films qui ont fait un apport très important au monde du cinéma. Il a notamment participé à l'atelier de Lev Kouleshov sur le jeu des acteurs par rapport au montage. Eisenstein a également découvert qu'il était possible de montrer ce qui n'est pas visible à l'écran à l'aide du montage. Parmi ces œuvres, on compte Cuirassé Potemkine qui a été réalisasé en 1926. Ce film est célèbre notamment pour la scène de la poussette où un bambin dévale les escalier dans sa poussette. Dans cette œuvre, on retrouve également au montage des coupures qui permettent de croire que le peuple et les soldats sont au même endroit au même moment alors qu'on ne les voient jamais dans le même plan. La Grève est également un de ses films marquant. Aussi réalisé en 1925, on y retrouve l'effet Kouleshov où l'on voit les manifestants puis des bœufs se faire écorcher vif. Donc, les films de Sergei Eisenstein sont grandement travaillés au montage et impose le principe de la suggestion. C'est en 1948 Eisenstein s'éteignit. 

source: L'Encyclopédie Universalis

mercredi 15 février 2012

Lev Kouleshov

Lev Kouleshov, né le 1er janvier 1899  à Tambov Russie , est un cinéaste et théoricien soviétique. Kouleshov a grandement participé à créer des effets de montages. On le connait notamment pour l'invention l'effet Kouleshov. Cet effet de montage consiste à juxtaposer deux images une à la suite de l'autre de sorte que le spectateur fait un lien entre les deux images même si elles n'ont pas forcément un lien direct. On a fait l'expérience où un comédien gardait un ton neutre sur toutes les prises et on y montrait successivement une autre image soit un bol de soupe, d'une jeune fille ainsi que d'un cercueil. Dans les trois cas, les spectateurs ont été étonnés par le jeu formidable de l'acteur qui avait l'air affamé en regardant le bol de soupe, d'un être paternel en regardant la fillette et il avait l'air d'une tristesse. Ainsi est né l'effet Kouleshov. Bref, Kuleshov a longtemps travaillé pour montrer l'importance du montage dans un film. C'est le 30 mars 1970 à Moscou que Lev Kouleshov mourut.

Dziga Vertov

Né Denis Kaufman à Bialystok, Dziga Vertov s'intéresse aux montages de sons et de différents bruits. Il fonde le laboratoire de l'ouïe en 1917 . L'année suivante, il devient rédacteur en chef et monteur du Kino-Nédélia. Grâce à ce poste, il essaie de nouvelles techniques de montage fondées sur le mouvement. Vertov est alors considéré comme le pionnier des films de montages.  Vertov expérimente notamment le « ciné-oeil » ainsi que le « ciné-vérité ». Le ciné-oeil est le principe selon lequel la caméra est plus parfaite que l'oeil humain et qu'elle peut enregistrer des faits tout en choisissant les éléments enregistrés. Vertov refuse, toutefois, de faire du cinéma avec des acteurs, des décors, des costumes et des plateaux de tournage. Celui-ci critique le fait que ce type de cinéma hébète et suggestionne le spectateur. Parmi ses oeuvres importantes, on compte notamment L'Homme à la caméra, Kino-Pravda,  En avant Soviet!,  La Onzième Année, La Symphonie du Dombass et Trois chants sur Lénine. La plupart de ces films sont des magazines filmés. C'est d'ailleurs leur aspect documentaire qui leur donne de la valeur.


source: L'Encyclopédie Universalis

dimanche 5 février 2012

Ciné-Club: rencontres

Midnight Cowboy est un film réalisé parJohn Schlesinger en 1969.

Résumé: Midnight Cowboy est le récit d'un jeune cowboy du Texas, Joe Buck, qui décide d'aller vivre à New York. Celui-ci se prostituant à des fins monétaires est considéré comme l'un des meilleurs dans son coin de pays. Cependant, les choses ne se déroulent pas comme il le voudrait une fois arrivé à New York. C'est alors qu'il fait la rencontre de Ratso Rizzo qui lui propose d'être son '' manager ''.  Joe accepte c'est offre, mais constatant que Ratso ne lui apporte aucun contrat satisfaisant il laisse tomber son partenariat avec lui. Un soir, alors qu'il rentre à son hôtel, on annonce à Joe qu'il de peux plus y vivre tant qu'il n'aura pas l'argent pour payer le montant à l'hôtel. Il revit ensuite Ratso qui lui proposa d'aller vivre chez lui. Joe Buck n'ayant aucune autre solution fini par accepter. La maison de Ratso s'avère être un vieux bloc appartement abandonner et miteux. Les deux copains voleront, se soutiendront et se battront afin de survivre dans ces conditions.
Critique: Le film Midnight Cowboy m'a tout d'abord choquée. Probablement parce que je ne m'attendais pas à ce genre d'histoire. De plus, les retours en arrière ne me semblaient pas toujours justifiés, du moins, je ne comprenais pas toujours leur signification ce qui nuisait à ma compréhension. Cependant, avec le recul, je peux dire que j'ai apprécié ce film sur certains aspect tels que la morale qui se cachait derrière l'histoire de Joe Buck. C'est-à-dire que ce n'est pas parce qu'on est le meilleur à une place qu'on va l'être partout. J'ai également apprécié la relation qui s'est développée entre Joe buck et Ratso Rizzo. Ils feront tout pour se sortir de leur misère et n'abandonneront jamais l'autre dans leur propre intérêt. Ce qui prouve que malgré la misère les amis restent soudés. Il y a également un élément cinématographique que j'ai particulièrement aimé: lorsque Joe à la toute fin du film regarde par la fenêtre de l'autobus en tenant Ratso dans ses bras et que l'on voit en surimpression le chemin qu'il parcoure.

Carnets de voyage est un film réalisé par Walter Salles en 2004.

Résumé:  Carnets de voyage est le récit de Che Guevara et d'Alberto Granado qui projettent de faire un voyage à travers l'Amérique du Sud en neuf mois avec une moto. Leur objectif est d'atteindre Caracas pour les 30 ans d'Alberto. Cependant, ils accumuleront vite du retard à cause de problèmes avec la moto. Étant respectivement biochimiste et étudiant en médecine, Alberto et Che obtiendront quelques faveurs notamment d'avoir la réparation de leur moto gratuitement. Cependant, malgré toutes les réparations qu'elle a subie la moto rend l'âme. Les deux amis doivent donc continuer leur périple à pied. Sur leur chemin ils rencontreront un couple d'Indiens qui sont prêts à tout pour obtenir un travail dans les mines puisqu'ils sont pauvres et ont du s'enfuir de leur pays puisqu'ils étaient communistes. Cette rencontre changea un peu la mentalité des deux jeunes voyageurs, qui au fil des jours, rencontreront des gens démunis et face à ses injustices ils changeront tout en tentant d'aider ces gens.

Critique: Personnellement, j'ai adoré ce film. C'est un film criant de vérité qui nous fait prendre conscience de toutes les injustices qu'il y a dans notre monde. Cette injustice dont on ne se rend pas compte et qui pourtant est là chaque jours et ce, depuis toujours. Mais bien plus encore, à travers ce film on peut également voir la beauté de notre monde avec des paysages à en couper le souffle. J'ai aimé voir les deux personnages évoluer au cours de leur aventure qui se transforme en voyage humanitaire. En effet, Che et Alberto qui faisaient ce voyage pour le plaisir se rendant compte de la situation de certaines nations se font un devoir d'aller aider ces gens. Je trouve que c'est remarquable pour des êtres humains qui voulaient prendre du bon temps de s'investir dans des causes comme celles-ci. De plus, le fait que ce film soit inspiré d'une histoire vraie et que les gens des différents pays que l'ont voient ne soient pas des acteur ne rend le film que plus authentique.

Midnight in Paris est un film réalisé par Woody Allen sorti le 11 mai 2011.

Résumé: Midnight in Paris est le récit de Gil, un écrivain qui est en vacance à Paris avec sa fiancée Ines. Gil rêve de vivre à Paris, il aurait aimé y vivre dans les années 20. Sa fiancée, par contre, est une pure Californienne et elle ne le cache pas à Gil: elle ne serait pas capable de vivre à Paris en permanence. Un soir, alors que le couple soupa au restaurant avec des amis à Ines, Gil décida qu'il rentrerait à l'hôtel à pied au lieu d'aller danser avec les amis de sa fiancée. Gil ne connaissant pas bien la région de Paris se perdit. Alors qu'il était assis sur des escalier attendant je ne sais quoi, minuit rententit. C'est alors qu'une voiture d'allure ancienne apparu et s'arrêta juste où Gil était assis. Les gens se trouvant à l'intérieur de celle-ci insistèrent pour que Gil monte avec eux ce qu'il fit. Ils se rendirent à une fête où Gil fit la rencontre du couple Fitzgerald. Ils allèrent ensuite dans un café où le couple présenta le jeune homme à Hemingway. Depuis ce soir là, Gil se rendit aux mêmes escalier tous les soirs et à minuit il faisait un bond dans le temps là où il considérait que la vie était plus belle.

Critique: J'ai beaucoup aimé ce film et le message qui y est encodé. En effet, ce film nous suggère que l'on croit souvent que la vie est plus belle à une certaine époque. Lorsque le personnage de Gil à eu l'occasion d'aller visiter les années 20, il s'est rendu compte que c'était la même chose pour les gens de cette époque là. J'ai également beaucoup aimé l'univers fictif créé. Tout le monde a déjà voulu remonter dans le passé et ce film permet de s'abandonner à la rêverie. Cela nous permet également de s'identifier au personnage principal. En plus de représenter la ville de Paris magnifiquement, le côté humoristique réussit bien à nous faire rire. C'est donc un film léger qui se prend bien et qui nous fait bien réfléchir sur les choses que l'on croit être mieux que ce que l'on a.


Burlesque muet: The Kid

The Kid est un long-métrage réalisé par Charlie Chaplin en 1921.

Résumé: Ne pouvant subvenir aux besoins de son jeune enfant, une jeune mère décide d'abandonner son enfant. Celle-ci va le porter dans une voiture se disant que les propriétaires de celle-ci auront de quoi s'occuper de son bébé. Hélas, deux voleurs décidèrent de voler la voiture. Lorsqu'ils s'arrêtèrent un moment, ceux-ci entendirent les pleurs du bébé. Ne voulant pas s,occuper du bambin, les deux individus le laissèrent dans une ruelle. C'est alors que Charlot découvrit l'enfant. Il le prit et voulu le remettre à sa place. Cependant, un policier remarqua que celui-ci avait l'enfant dans ses bras et ne put donc pas s'en débarrasser. Charlot vit alors une femme et tenta de mettre le bambin dans la poussette de celle-ci. Voyant que ce n'était pas son enfant, la dame l'enleva de la poussette et le redonna à Charlot. Celui-ci tenta ensuite de le refiler à un vieillard qui finit par le mettre dans le charriot de la même dame. Charlot passant à côté d'elle fut donc obliger de reprendre le bébé encore une fois. Charlot sera donc obliger de prendre soin de cet enfant. Pendant ce temps la mère du bambin commence à avoir de regrets et décide de chercher le bambin. Cinq ans plus tard, alors que Charlot à élevé l'enfant, John, comme si c'était son propre fils, sa mère biologique le cherche toujours. 

Critique: J'ai été agréablement surprise en écoutant le film The Kid. On a souvent tendance à croire que le cinéma muet est ennuyant et que l'histoire ne peut pas être aussi riche qu'avec des paroles. Eh bien, ce n'est pas du tout le cas. Le muet permet de mettre l'accent sur les actions plutôt que sur les paroles ce qui fait qu'en bout de ligne, l'histoire est très compréhensible et amusante à visionner. L'histoire qu'on retrouve dans The Kid est, selon moi, très touchante. En effet, le personnage de Charlot, au début du film, ne veut aucunement être pris pour s'occuper de l'enfant alors que, lorsqu'on essaie de lui enlever, cinq ans plus tard, c'est pour lui une tragédie. On comprend alors que dans le récit on insiste sur le fait qu'on peut aimer un enfant comme s'il était le nôtre alors que ce n'est pas le cas. De plus, j'aime bien le genre burlesque qui est amusant et qui permet de rire même si l'histoire est sérieuse. Bref, le message et l'atmosphère de ce film m'ont bien plus.

Caractéristiques: J'ai identifié plusieurs caractéristiques du burlesque lors de mon visionnement. La rapidité de mouvement fut  un élément présent  notamment lors des différents combats entre le policier et Charlot. On retrouve également la bastonnade lorsqu'une dame frappe Charlot avec son parapluie croyant que c'est lui qui a mis le second bébé dans sa poussette. Plusieurs chutes corporelles se retrouvent également dans ce long-métrage: lorsque John se bat contre un autre petit garçon, celui-ci tombe à cause des coups de poings que lui a assenés John. Lorsque le docteur rend visite à Charlot puisque John est malade, il s'assoie sur une chaise avec un trou et tombe de celle-ci. Il tombe également en quittant la résidence de Charlot. Il n'y a pas eu de lancer de tarte à la crème, cependant, lorsque les autorités sont venus chez Charlot pour récupérer l'enfant, on leur a lancé un bol de farine au visage. j'ai identifié un gag lorsque Charlot est à l'hôtel où il a loué un lit afin de se cacher pour qu'on ne lui enlève pas John, il fouille dans sa poche et une troisième main fouille également dans ses poches. Je n'ai identifié aucun slapstick. Lorsque Charlot se bat contre le frère du gamin contre qui John s'est battu un running gag est présent: l'homme tente de frapper Charlot, mais Charlot se baisse juste à temps pour ne pas recevoir le coup, puis, c'est lui qui frappe l'homme sur la tête. ce manège à lieu à quatre reprises. Lorsque Charlie et John tentent de fuir le policier, ceux-ci courent dans toutes les directions et ils ridiculise le policier qu'ils arrivent a semer. Il y a donc un keystore cops dans cette scène.

lundi 30 janvier 2012

Filmographie: Charles Chaplin

 1914:
  •  Pour gagner sa vie (Making a Living)  Acteur. 




  • Charlot est content de lui (Kid Auto Races at Venice) Acteur.




  • L'Étrange Aventure de Mabel (Mabel's Strange Predicament) Acteur.




  • La Course au voleur (A Thief Catcher)  Acteur.




  • Charlot et le parapluie (Between Showers) Acteur. 




  • Charlot fait du cinéma (A Film Johnnie) Acteur. 




  • Charlot danseur (Tango Tangles) Acteur.
 


  • Charlot entre le bar et l'amour (His Favorite Pastime) Acteur.




  • Charlot marquis (Cruel, Cruel Love) Acteur.




  • Charlot aime la patronne (The Star Boarder) Acteur.




  • Mabel au volant (Mabel at the Wheel) Acteur.




  • Charlot et le chronomètre (Twenty Minutes of Love) Acteur + Réalisation 




  • Charlot garçon de café (Caught in a Cabaret) Acteur.




  • Un béguin de Charlot (Caught in the Rain) Acteur + Réalisation




  • Madame Charlot (A Busy Day) Acteur + Réalisation




  • Le Maillet de Charlot (The Fatal Mallet) Acteur.




  • Le Flirt de Mabel (Her Friend the Bandit) Acteur + Réalisation 




  • Charlot et Fatty dans le ring (The Knockout) Acteur.




  • Charlot et les saucisses (Mabel's Busy Day) Acteur.




  • Charlot et le mannequin (Mabel's Married Life) Acteur + Réalisation 




  • Charlot dentiste (Laughing Gas) Acteur + Réalisation     




  • Charlot garçon de théâtre (The Property Man) Acteur + Réalisation




  • Charlot artiste peintre (The Face on the Bar Room Floor) Acteur + Réalisation




  • Fièvre printanière (Recreation) Acteur + Réalisation 




  • Charlot grande coquette (The Masquerader) Acteur + Réalisation 




  • Charlot garde-malade (His New Profession) Acteur + Réalisation 




  • Charlot et Fatty font la bombe (The Rounders) Acteur + Réalisation




  • Charlot concierge (The New Janitor) Acteur +  Réalisation 




  • Charlot rival d'amour (Those Love Pangs) Acteur + Réalisation 




  • Charlot mitron (Dough and Dynamite) Acteur + Réalisation





  • Charlot et Mabel aux courses (Gentlemen of Nerve) Acteur + Réalisation




  • Charlot déménageur (His Musical Career) Acteur + Réalisation 




  • Charlot papa (His Trysting Place) Acteur + Réalisation 




  • Charlot et Mabel en promenade (Getting Acquainted) Acteur + Réalisation




  • Charlot nudiste (His Prehistoric Past) Acteur + Réalisation ( 7 décembre 1914 )




  • Le Roman comique de Charlot et Lolotte (Tillie's Punctured Romance) Acteur.
 1915: 
  











  • Charlot débute (His New Job) Acteur + Réalisation
  • Charlot fait la noce (A Night Out) Acteur + Réalisation
  • Charlot Boxeur (The Champion) Acteur + Réalisation
  • Charlot dans le parc (In The Park) Acteur + Réalisation
  • Charlot veut se marier (A Jitney Elopement) Acteur + Réalisation
  • Le Vagabon (The Tramp) Acteur + Réalisation
  • Charlot à la place (By The Sea) Acteur + Réalisation
  • Charlot apprenti (Work) Acteur + Réalisateur
  • Mam'zelle Charlot (A Woman) Acteur + Réalisation
  • Charlot garçon de banque (The Bank) Acteur + Réalisation
  • Charlot marin (Shanghaied) Acteur + Réalisation
  • Charlot au music-hall (A Night in the Show) Acteur + Réalisation
  • Charlot joue Carmen (Burlesque on 'Carmen') Acteur + Réalisation
1916:
 








  • Charlot Cambrioleur (Police) Acteur + Réalisation
  • Charlot chef de rayon (The Floorwalker) Acteur + Réalisation
  • Charlot pompier (The Fireman) Acteur + Réalisation
  • Charlot musicien (The Vagabond) Acteur + Réalisation
  • Charlot rentre tard (One A.M) Acteur + Réalisation
  • Charlot et le comte (The Count) Acteur + Réalisation 
  • Charlot usurier (The Pawnshop) Acteur + Réalisation
  • Charlot fait du ciné (Behind the Screen) Acteur + Réalisation
  • Charlot patine (The Rink) Acteur + Réalisation
1917:
  • Charlot policeman (Easy Street) Acteur + Réalisation
  • Charlot fait une cure (The Cure) Acteur + Réalisation
  • L'émigrant (The Immigrant) Acteur + Réalisation
  • Charlot s'évade (The Adventurer) Acteur + Réalisation
1918:
  • Les Avatars de Charlot (Triple Trouble) Acteur + Réalisation
  • Une vie de chien (A Dog's Life) Acteur + Réalisation 
  • The Bond Acteur + Réalisateur
  • Charlot Soldat (Shoulder Arms) Acteur + Réalisation
1919:
  • Une idylle aux champs (Sunnyside) Acteur + Réalisation
  • Une journée de plaisir (A Day's Pleasure)Acteur + Réalisateur
1921:








  • Le Kid (The Kid) Acteur + Réalisation
  • Charlot et le masque de fer (The Idle Class) Acteur + Réalisateur
1922:
  •  Jour de paye (Pay Day) Acteur + Réalisation
1923:
  •  Le pèlerin (The Pilgrim) Acteur + Réalisation 
  •  L'opinion publique (A Woman of Paris) Acteur + Réalisation
  • (1925) La ruée vers l'or ( The Gold Rush) Acteur + Réalisation
  • (1928) Le cirque (The Circus) Acteur + Réalisation
  • (1940) Le dictateur (The Great Dictator) Acteur + Réalisation
  • (1947) Monsieur Verdoux Acteur + Réalisation
  • (1952) Les feux de la rampe (Limelight) Acteur + Réalisation
  • (1957) Un roi à New York (A King in New York) Acteur + Réalisation
  • (1967) La Comtesse de Hong Kong (A Countess from Hong Kong) Acteur + Réalisation



































































































































































































































































































dimanche 29 janvier 2012

Burlesque parlant: Limelight

Limelight est un long-métrage réalisé par Charlie Chaplin en 1953. 

Résumé: Ce film est le récit d'un homme, M. Calvero, qui, un jour, lorsqu'il regagna son appartement, découvrit sa voisine d'en-dessous sans connaissance. Celle-ci avait tenté de suicider. Il hébergea donc cette jeune femme qui n'avait nulle part où aller puisque la propriétaire refusa qu'elle retourne vivre dans sa chambre. M. Calvero prit soin de Theresa et lui demanda quelles sont les raisons qui l'ont poussées au suicide. Celle-ci répondit qu'elle était malheureuse puisqu'elle ne pouvait plus danser à cause de ses jambes. M. Calvero s'identifia tout de suite à Theresa puisque lui-même faisait parti du milieu. En effet, celui-ci était un clown. Cependant, il dut s'arrêter puisqu'il a fait une crise cardiaque du à la trop grande consommation d'alcool. Pourtant, M. Calvero rêvait souvent d'idées de numéro qu'il pourrait faire. Cependant, il les oubliait dès qu'il se réveillait. Un jour, il reçu un télégramme de son impressario qui lui proposa de faire un numéro lors d'un spectacle. Cela ne porta cependant pas fruit. Il ne se laissa pourtant pas abbattre, il encouragea même Therese de sorte qu'elle puisse marcher et croire qu'elle pourrait recommencer à danser. C'est donc le combat de deux individus pour atteindre le bonheur.

Critique: J'ai bien aimé le film limelight et le message que l'on cherche à transmettre par celui-ci. Cependant, les nombreuses ellipses faisait en sorte que je m'y perdais. Parfois, je n'arrivais plus à différencier les rêves de M. Calvero de la réalité. J'ai également trouvé qu'il y avait quelques longueurs. Malgré cela, il y avait plusieurs effets très réussi, notamment lorsque Therese danse et que l'on voit les endroits où elle se produit en surimpression. Au niveau de l'histoire, j'ai aimé le fait qu'on voit les personnages dans leur état le plus vulnérable et qu'ils n'aient pas tout cuit dans le bec. Il ne réussissait pas toujours ce qu'ils entreprenaient et perdaient parfois tout espoir de pouvoir un jour revivre leur rêve. Le récit montre bien ce que c'est que la persévérance et c'est sans doute ce que j'ai le plus apprécié.

Caractéristiques: J'ai identifié plusieurs caractéristiques du genre burlesque lors du visionnement de limelight que j'ai fait. Il y a notamment la rapidité des mouvements que l'on retrouve lorsque M. Calvero rêve de son numéro comique. Celui-ci y fait une danse avec sa canne. Ses pieds vont de vive allure et il fait tournoyer sa canne rapidement. La chute corporelle fut également présente dans le long-métrage. On vit cette caractéristique à quelques reprise lors du spectacle que Calvero donna avec son assistant. L'un jouait le pianiste et l'autre le violoniste. Le pianiste tomba de son banc à deux reprise alors que Clavero, le viloniste, fit une chute spectaculaire en bas de la scène. Quelques effets comiques font aussi parti du récit. Notamment lorsque Calvero va voir la propriétaire de son appartement puisqu'il a un mois de retard à payer. Celui-ci lui fait alors une sorte de déclaration afin qu'elle lui laisse plus de temps pour payer. Cet effet comique a donc rendu absurde la relation que Calvero entretient avec la propriétaire de l'appartement. Finalement, j'ai identifié deux running gags. Tous deux se produise lors du numéro musical de Calvero. En premier lieu, les jambes de Calvero rétrécissent à plusieurs reprises lors de ce numéro. En second lieu, le pianiste échappe plusieurs fois ses partitions et essaie de les remettre en place. Je n'ai cependant identifié aucune bastonnade ou de lancer de tarte à la crème. C'est également le cas pour le slapstick et le keystore cops dont je n'ai trouvé aucune trace.