Résumé: William
Bloom et son père Edward ne sont plus très proches puisque celui-ci raconte des
histoires toutes plus fantastiques les unes que les autres, ce qui n’enchante
pas particulièrement son fils. Pendant trois ans William n’adressera donc pas
la parole à son père. Il ne reviendra vers lui que lorsqu’il apprendra que
celui-ci est mourant. William, qui sera bientôt père à son tour, espère que le
sien pourra lui révéler la vérité sur toutes les histoires qu’il a racontées
tout au long de sa vie, car il voudrait connaître son père, le vrai, avant
qu’il meure. Edward continue pourtant de raconter ses bonnes vieilles histoires
où il aurait passé trois ans de sa vie dans un lit parce qu’il grandissait trop
vite, où il était le meilleur dans tous les domaines à l’adolescence et où il
aurait quitté sa ville natale en compagnie d’un géant. Cela cause de la
frustration chez William, car il croit que son père est un menteur alors qu’en
fait, il le découvrira plus tard, celui-ci ne donne qu’un peu de magie à toutes
ses histoires.
Critique: J'ai beaucoup aimé Big Fish, car l'histoire est très touchante et elle nous permet tous de rêver. Après tout, qui n'a jamais voulu transformer l'histoire de sa vie en y ajoutant de nombreux périples qui semblent plus impossibles les uns que les autres? Cinématographiquement, j'ai trouvé ce film très riche. Cependant, un plan m'a marqué en particulier. Il s'agit de l'effet subjectif qui est fait lorsque la caméra se trouve dans l'eau et ainsi s'opère un travelling avant, de sorte que le spectateur se sente comme un poisson nageant dans l'eau. Ce long métrage m'as donc permis de rire, de rêver et il a même su m'émouvoir lorsque William raconte comment se produit la mort de son père, car lui qui n'aimait ses histoires a enfin compris ce qu'elles représentaient pour Edward et ainsi il su qui était réellement son père.
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